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Cinéma
Saint-Sébastien : Arzak en vedette du 7ème Art !
Saint-Sébastien : Arzak en vedette du 7ème Art !

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Saint-Sébastien : Arzak en vedette du 7ème Art !

Le Festival de Cinéma de Saint-Sébastien « Zinemaldia » bénéficiera des « saveurs gastronomiques » du documentaire « Arzak depuis 1897 » d'Asier Altuna, consacré au célébrissime restaurant donostiar triplement étoilé par Michelin dirigé par Juan María Arzak et sa fille Elena, et dans lequel apparaissent en plus de Juan Mari et Elena Arzak des chefs tels que Ferran Adrià, Pedro Subijana, Joan Roca, Karlos Arguiñano, Andoni Luis Aduriz et Dabiz Muñoz. Projection proposée dans le cadre d’une section « Cinéma culinaire » organisée en collaboration avec le « Basque Culinary Center ».

Basé sur le cinéma et la gastronomie, ce « Cinéma culinaire » associera la projection de quatre films - dont trois en première mondiale - à des dîners à thème de chefs prestigieux et celui de l'ouverture de l’événement, le 21 septembre, correspondant au film « Arzak depuis" 1897 », sera animé par sept chefs renommés qui ont été formés et ont travaillé chez Arzak, un dîner « à plusieurs mains » qui, en hommage, sera offert par Yolanda León et Juanjo Pérez ; Pablo González ; Xabier Diez ; Bruno Oteiza ; Xanty Elías et Fernando Bárcena. 

Quant aux autres projections, elles concerneront également le chef catalan Raül Balam, qui après avoir surmonté sa toxicomanie a eu l'occasion de diriger le prestigieux restaurant de sa mère, Carme Ruscalleda, et le chef valencien Ricard Camarena, confronté à la difficile réouverture de ses restaurants après avoir été confiné par la pandémie.

On découvrira encore la première internationale de "The Truffle Hunters" des Américains Michael Dweck et Gregory Kershaw, projeté à Sundance et inclus dans la sélection officielle de Cannes 2020, film consacré aux vicissitudes d'un groupe de septuagénaires et d'octogénaires qui, accompagnés de leurs chiens, parcourent les forêts italiennes du Piémont à la recherche de la rare et recherchée truffe blanche.

Par ailleurs, le film « Wuhai » du réalisateur chinois Ziynag Zhou complète la liste des films en compétition dans la sélection officielle de la 68ème édition du Festival donostiar, dans laquelle les dernières œuvres de Naomi Kawase, François Ozon, Thomas Vinterberg ou Sharunas Bartas concourront également pour la « Concha de Oro ». En tout treize films qui concourront dans la sélection officielle, qui sera inaugurée hors compétition par « Rifkin's festival », la nouvelle comédie de Woody Allen.

Sans oublier  le cinéma basque auquel le festival reste fidèle dans son engagement et, comme les années précédentes, Zinemaldia a sélectionné pour cette édition 21 titres qui sont répartis entre la section officielle, les "nouveaux réalisateurs", "Zabaltegi-Tabakalera", "Culinary Zinema", Zinemira , Made in Spain, WIP Europe ainsi que les Galas du Cinéma Basque et d'EITB (radio-télévision basque). A cette occasion, dans toutes ces sections, quatorze longs métrages, trois courts métrages, deux séries, un moyen métrage et un film en phase de production seront projetés. "C'est une mosaïque de tous genres et de tous formats caractérisant le cinéma qui se fait au Pays basque", a souligné le directeur de Zinemaldia, José Luis Rebordinos. Nous y reviendrons la semaine prochaine.

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"Wuhai" du réalisateur chinois Ziynag Zhou ©
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MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS | 28/08/2020 11:57

Aucun restaurant n'a été confiné par "LA" pandémie qui n'a servi que d'excuse. Cette excuse a été irrecevable car elle est restée parfaitement INEXISTANTE. les mots ont un sens "académique" qu'il convient de respecté. Par contre ce confinement inutile et a été effectivement extrêmement dommageable à l'économie et au social et bien plus encore, au goût du travail. L’État satanique par ses décisions nuisibles a, et continue de, détruire ce goût au travail en transformant les salariés, les commerçants, les entreprises en propriétés collectives alimentés par les impôts en partie sur transferts sociaux. Avec cette mauvaise excuse l'Etat est en train de collectiviser l'économie et d'asservir le social comme même pire qu'en URSS car au moins là-bas il y avait à côté des SOVKHOZES, des KOLKHOZES. En France le régime ne veut voir que des entreprises et des personnes propriétés de l’État. C'est pire que tout, pire que le nazisme, pire que le fascisme de Mussolini, pire que le soviétisme... Cela dit j'aimerais bien participer à cette résurgence rendue difficile effectivement mais mon manque de sous m'en empêche à regrets multiples...

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