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Cinéma
Cinéma chrétien : "Faustine, apôtre de la Miséricorde" au CGR bayonnais et au "Sélect" luzien
Cinéma chrétien : "Faustine, apôtre de la Miséricorde" au CGR bayonnais et au "Sélect" luzien

| ALC 439 mots

Cinéma chrétien : "Faustine, apôtre de la Miséricorde" au CGR bayonnais et au "Sélect" luzien

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Cinéma chrétien : "Faustine, apôtre de la Miséricorde" au CGR bayonnais et au Sélect luzien ©
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Synopsis : "Dans les années 30, Soeur Faustine reçoit des révélations privées au cours de nombreuses apparitions du Christ. Ce dernier la charge de diffuser au Monde entier le message de sa Miséricorde Divine. Une mission que poursuivra le père Sopocko, son confesseur, après la mort de Faustine avec l'aide de son célèbre " Petit Journal". Un docu-fiction passionnant sur un grand Mystère de la foi, à la lumière des analyses scientifiques."

Qui était Sœur Faustine ?
Hélène Kowalska est née le 25 août 1905, en Pologne. Elle entre à 20 ans chez les sœurs de Notre Dame de la Miséricorde à Varsovie et devient Sœur Marie Faustine du Très Saint Sacrement. Sa vie est très simple : elle travaille au service de ses sœurs en cuisine, dans le jardin ou encore comme portière. Mais derrière cette simplicité se cache une grande communion avec Dieu. Ses 13 ans de vie religieuse furent marqués par de grandes souffrances physiques et morales (maladies, moqueries, critiques) ainsi que par de nombreuses expériences mystiques. Lors d’un entretien avec le Christ, elle reçoit une grande mission : celle de rappeler au monde entier Son Amour Miséricordieux. Elle reçoit également de Jésus la demande de faire réaliser un tableau d’après ce qu’elle a elle-même contemplé lors de sa vision mystique, et de faire vénérer cette image dans le monde entier. Toutes ses expériences mystiques et ses entretiens avec Jésus ont été mis par écrit par la Sainte elle-même, dans le Petit Journal, sur la demande de son directeur spirituel, le bienheureux Père Michel Sopocko. Emportée par la tuberculose, elle meurt à 33 ans, le 5 octobre 1938, en odeur de sainteté. Elle est déclarée bienheureuse par le Pape Jean Paul II, le 18 avril 1993, le premier dimanche après Pâques. Puis elle est canonisée le 30 avril 2000, ce même dimanche après Pâques, par le pape Jean Paul II qui institue également la Fête de la Miséricorde Divine.

Le réalisateur : diplômé de l’École des Hautes Etudes Commerciales de Varsovie, Michel Kondrat a travaillé comme directeur adjoint du conseil d’administration de la radio polonaise pendant cinq ans. Depuis 2013, il dirige la société Kondrat-Media qui produit et distribue des films d’inspiration et de valeurs chrétiennes.

Au CGR de Bayonne :
- Mercredi 19 mai à 17h
- Samedi 22 mai à 17h
- Dimanche 23 mai à 17h
- Lundi 24 mai à 17h
- Mardi 25 mai à 11h.
Lien de réservation : https://www.cgrcinemas.fr/bayonne/film/346103

Jeudi 20 mai à 18h45 au cinéma le Sélect de Saint-Jean-de-Luz, en collaboration avec l'Association Familiale Catholique de la Côte Basque / Réservation sur www.cineluz.fr ou à la caisse du cinéma

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Le réalisateur Michel Kondrat ©
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Faustine, apôtre de la Miséricorde ©
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Répondre à () :

MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS | 14/05/2021 16:39

Il me semble que j'ai quelque chose à dire sur cette miséricorde. Donc je vais le dire par devoir et en toute modestie. D'abord, récemment, le Père HOROWITZ "Le Curé 2.0" sur sa chaîne, a très bien expliqué récemment ce qu'est la miséricorde qui n'a rien à voir avec le pardon. La miséricorde ne peut être que divine. Elle n'appartient pas à l'humain. Par contre, comme je l'ai fait moi-même, on peut abandonner ses ennemis les plus graves, les plus gravement pénalisants, les plus quasi-criminels contre soi et sa famille à la miséricorde de Dieu en s'abstenant de toute vengeance personnelle qui serait un péché mortel, je le rappelle. Donc avec ces deux tiers-là d'explication j'essaie de me dire que ce ne fut pas lâcheté de ma part de ne pas les tuer. Ce qu'ils méritent sans doute encore s'ils ne sont pas déjà morts et donc passés de l'autre côté avec la sanction voulue positive ou négative de la part de Dieu. Si je les avais tué, j'aurais sans doute assez méchamment mis en danger mon propre Salut et leur aurait en même temps donné un argument de défense devant Dieu. Il est évident que je préfère les abandonner à la miséricorde divine... sans mon pardon. D'abord, ils ne m'ont jamais demandé pardon ni proposé réparation même partielle. Donc, je ne pardonne pas, je refuse, c'est mon Droit devant Dieu ! Voilà comment je vois et comprends la miséricorde divine que personne sur Terre n'a le pouvoir d'exercer. Dieu juge, Seul, en Sa miséricorde. Mais bien présomptueux est celui qui confond miséricorde avec Pardon....

brigitte de Diesbach | 15/05/2021 22:36

merci de signaler ce beau film si important pour notre époque troublée

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